Tant que je suis vivant
Récit à caractère autobiographique

[Dictées ; 08]

  • Enregistrement
    Lausanne (Vaud, Suisse), du 14 avril au 14 juin 1976.


  • Supports originaux
    Enregistrement sur cassettes.
    Dactylographie : 2 volumes avec reliure noire (pp. 1-131, pp. 132-261 ; une dédicace signée et datée de 1976 en tête du premier volume, une dédicace simplement signée en tête du second ; corrections manuscrites de l'auteur ; signature.
    Conservation : un exemplaire de la dactylographie avant correction par l'auteur au Fonds Simenon (Liège, Belgique).


  • Publication d'une préoriginale
    Aucune.


  • Edition originale
    Tirage de tête

    Achevé d'imprimer : 13 février 1978.
    Paris, Presses de la Cité ; 26,5 x 17,5 cm, 168 pages ; en feuilles, sous double emboîtage d'édition bleu marine.
    50 exemplaires de luxe, numérotés de 1 à 50.


      Tant que je suis vivant, 1978.
    Edition originale, tirage sw tête.


    Tirage courant

    Achevé d'imprimer : 13 février 1978.
    Paris, Presses de la Cité ; 24 x 15,5 cm, 168 pages ; couverture en carton léger illustrée en couleurs.


      Tant que je suis vivant, 1978.
    Edition originale, tirage courant.


  • Réédition(s) en français
    Aucune.


  • Edition(s) collective(s) en français
    Liste non exhaustive

    In Tout Simenon (Paris, Presses de la Cité, 1988-1993) - tome 26.
    In Tout Simenon (Paris, Omnibus, 2002-2004) - tome 26.


  • Traduction(s)
    Liste non exhaustive

    En allemand :
    [ ? ] : [ ? ].

    En anglais :
    [ ? ] : [ ? ] (première édition américaine).
    [ ? ] : [ ? ] (première édition anglaise).

    En italien :
    [ ? ] : [ ? ].


  • Sujet
    [Source : Mathieu Rutten in Simenon (Nandrin, Eugène Wahle, 1986).]

    Dans Tant que je suis vivant, Simenon semble considérer ses romans durs, psychologiques, comme autant de préludes à ses Dictées : « Je demande qu'on me laisse le temps de poursuivre et d'achever, pour autant qu'il y ait un achèvement, ce que je considère comme l'essentiel de mon œuvre ; je parle de mes dictées. Quand se termineront-elles ? Je n'en sais rien. Je ne veux pas le savoir. Mais je voudrais encore longtemps laisser vagabonder mon esprit ».

    Du rêve subconscient à la réflexion consciente — des idées, une philosophie, il n'en a pas ; il n'est pas un intellectuel qui écrit pour un autre intellectuel — un peu à la manière de Samuel Pepys (1663-1703) dans son Diary : « un livre sorti des oubliettes ».

    « Est-ce que je suis en train, sur le tard, d'essayer de jouer mon Pepys ? Sinon, les notes que je prends presque quotidiennement à mon micro seront bonnes pour la poubelle ».




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