Ame de jeune fille
Roman sentimental

  • Pseudonyme
    Gaston Viallis.
    Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.


  • Rédaction
    Paris (France), [date non connue].


  • Manuscrit
    [ ? ].
    Titre proposé et non retenu pour la publication : Haïr.


  • Publication d'une préoriginale
    Aucune.


  • Edition originale
    Achevé d'imprimer : 13 mars 1930 (la couverture porte 1931).
    Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 25 centimes.
    Collection « Le Petit Roman », n° 165.
    Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.

    La date de sortie de l'ouvrage est mars 1931, comme l'indique la couverture de l'ouvrage. En effet, le numéro précédent de la
    collection « Le Petit Roman » (n° 164), Le drame d'une nuit, de René Poupon est daté de mars 1931.


      Ame de jeune fille , 1930.
    Edition originale.


  • Réédition(s) / Edition(s) collective(s) en français

    [En préparation].


  • Intrigue
    Un village du terroir sancerrois (France), dans les environs de Pouilly, est le théâtre d'une âpre lutte entre deux familles de vignerons - les Bourcier et leurs voisins, les Viroux - qu'une haine ancestrale oppose. Le différend atteint son point culminant lorsque Gustave Bourcier est retrouvé mort dans sa maison. Assassiné.

    Jean Viroux passe la nuit avec sa maîtresse, Annie Bourcier, dont il est très amoureux. La veille, il s'est disputé avec Gustave, qui a été jusqu'à le frapper. En raison de cette altercation, Jean est le suspect idéal et il est arrêté. Apprenant cela, le père Viroux se présente à la police et s'accuse du meurtre de Gustave. Il était en effet furieux que celui-ci ait battu son fils et, afin de mettre les choses au point, il a rendu visite à son vieil ennemi en pleine nuit. Les deux hommes se sont battus et, accidentellement, Viroux a tué Bourcier. Il a d'ailleurs également été blessé durant leur altercation et meurt peu après sa déposition.

    Pour fuir l'effarante et dramatique stérilité des ces luttes de familles, Jean et Annie fuient leur terre natale pour l'Indochine. C'est là que naîtra leur enfant, dans lequel ils voient le symbole vivant de l'effacement définitif des vieilles dissensions.


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