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            PseudonymeJacques Dersonne.
 Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
 
 
 
 
            RédactionParis (France), [date non connue].
 
 
 
 
            Manuscrit[ ? ].
 
 
 
 
            Publication 
              d'une préoriginaleAucune.
 
 
 
 
            Edition 
              originaleAchevé d'imprimer : 21 octobre 1930.
 Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 95 pages ; couverture 
              illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 60 centimes.
 Collection « Le Petit Livre », n° 937.
 Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
 
 
 
 
                
                  |  |  | Les 
                    étapes du mensonge, 1930. Edition originale.
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            Réédition(s) 
              / Edition(s) collective(s) en français
 [En préparation].
 
 
 
 
            Remarque(s)L'intrigue des Etapes du mensonge reprend, de façon 
              à en faire un récit complet, les événements 
              qui forment l'arrière plan de Marie-Mystère 
              (publié sous le pseudonyme de Jean 
              du Perry ; Paris, A. Fayard, 1931).
 
 
 
            IntrigueA Toulon (Var, France), Henry Gérardier épouse Nine, 
              une modeste dactylo que la vie n'a guère épargnée. 
              Cette union ne plaît pas à la bourgeoisie de la ville 
              dont Gérardier fait partie. Elle espérait, pour ce 
              riche officier de marine, une femme de haute condition. Ce d'autant 
              plus qu'un nommé Marnicourt est amoureux de Nine, qu'il ne 
              s'en cache pas et que la seule famille de la jeune tient en Léon, 
              un garçon instable et influençable, qui fréquente 
              les bars de la Côte et soutire sans vergogne de l'argent à 
              sa cousine.
 
 Tandis que Gérardier est envoyé en mission en Orient, 
              Jeanne, une demi-mondaine qui se fait appeler Yolande et digère 
              mal l'échec de sa vie amoureuse, feint de s'éprendre 
              de Léon et le tient sous sa coupe. Elle entend ainsi, par 
              l'entremise Léon, s'approprier la fortune de l'officier.
 
 Pour favoriser la réussite de son plan machiavélique, 
              Jeanne prend soin d'intercepter les lettres que s'écrivent 
              Henry et Nine, de telle sorte que l'un et l'autre se croient oubliés 
              par leur partenaire et s'en trouvent très affectés. 
              Henry tente de noyer son chagrin dans l'opium et Nine - qui est 
              enceinte - sombre dans la dépression. De plus, Yolande fait 
              courir, dans les rangs de la bourgeoisie toulonnaise, la rumeur 
              d'une liaison entre Nine et Manicourt.
 
 Yolande et Léon emmènent Nine à Paris pour 
              la soigner. Mais cela n'est qu'un prétexte de plus. Véritable 
              génie du mal qui éprouve le besoin de faire souffrir, 
              Yolande projette en effet d'enlever l'enfant qui va naître 
              et de demander une rançon à son père lorsqu'il 
              rentrera de mission.
 
 Il faut une intervention providentielle pour empêcher Yolande 
              de nuire : elle meurt renversée par un tram. Léon 
              comprend alors que seule la main de Dieu pouvait châtier 
              une âme aussi noire. Il revient dès lors à 
              de meilleurs sentiments envers Nine, écrit à Henry 
              pour qu'il rentre au plus vite et lui explique tout ce qui s'est 
              passé.
 
 L'enfant naît et renforce l'amour que se portent Henry et 
              Nine, enfin réunis autour du berceau. Nine prie Dieu afin 
              qu'il défende leur enfant comme il les a défendus, 
              tandis qu'Henry se jure de ne plus jamais quitter son épouse.
 
 
 
 
            
           
           
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