L'île empoisonnée
Roman d'aventures exotiques

  • Pseudonyme
    Christian Brulls.
    Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.


  • Rédaction
    Paris (France), [date de rédaction présumée : 1928].


  • Manuscrit
    [ ? ].


  • Publication d'une préoriginale
    Aucune.


  • Edition originale
    Achevé d'imprimer : 25 mars 1937.
    Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10 cm, 32 pages ; couverture illustrée (Georges Vallée) ; 35 centimes.
    Collection « Le Petit Roman d'aventures », n° 59.
    Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.


      L'île empoisonnée, 1937.
    Edition originale.


  • Réédition(s) / Edition(s) collective(s) en français

    [En préparation].


  • Remarque(s)
    Dans L'autre univers de Simenon, Michel Lemoine estime que les ressemblances thématiques de L'île empoisonnée avec Les maudits du Pacifique (publié sous le pseudonyme de Georges Sim ; Paris, J. Tallandier, 1928) incitent à penser les deux romans ont été écrits dans le sillage l'un de l'autre. Il semble, en effet, que L'île empoisonnée ne peut avoir été rédigé en 1937, date de sa publication.


  • Intrigue
    Jadis, sous les ordres de Jack-le-Chauve, une bande de flibustiers écume les mers du Sud. Dans une île du Pacifique, le forban est abattu par son second, Jack. Les matelots enterrent le produit de leurs pirateries dans une caverne. Puis ils se séparent.

    Quelques années plus tard, Jack, devenu capitaine et propriétaire de l'Eléphant blanc, navigue avec ses matelot en direction de l'île du Pacifique dans laquelle est caché le trésor. Alors qu'ils sont presque à destination, un typhon provoque le naufrage de la goélette. Les marins les plus costauds parviennent à atteindre l'île à la nage, tandis que les autres se noient.

    Une fois à terre, les survivants sont attaqués par des indigènes cannibales dont les armes empoisonnées sont d'une redoutable efficacité. Seul Jack, son second — un Hollandais nommé Jef qui ne faisait pas partie de la bande de jadis — et matelot échappent à la mort. Ils retrouvent la caverne qui, à leur grande surprise, est défendue par Jack-le-Chauve, que Jack avait... très mal assassiné.

    L'ancien chef des pirates et le capitaine de l'Eléphant blanc se battent et s'entretuent. Pris de panique, le matelot prend la fuite et Jef se retrouve seul avec le trésor. De l'imposant butin de la caverne, le Hollandais ne prélève que quelques pierres précieuses. Le reste, il le jette à la mer, considérant que tout ce qui appartient à cette île, tout ce qui lui est lié, porte malheur.

    A bord d'un canot, Jef quitte l'île et sera recueilli plus tard par un navire.

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