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            PseudonymeChristian Brulls.
 Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
 
 
 
 
            RédactionParis (France), [date non connue].
 
 
 
 
            Manuscrit[ ? ].
 
 
 
 
            Publication 
              d'une préoriginaleEn feuilleton dans l'hebdomadaire « La Jeunesse Illustrée 
              », n° 1'462-1'475 du 11 octobre 1931 au 10 janvier 1932 
              (soit : 14 livraisons) ; illustrations de François Clérice.
 
 
 
 
 
 La maison des disparus, 
              1932.
 Publication en préoriginale.
 
 
 
 
            Edition 
              originale (publication posthume)Achevé d'imprimer : 15 mai 2001.
 Bruxelles, Les Amis de Georges Simenon ; 24,5 x 16 cm, 75 pages 
              ; illustrations de F. Clerice.
 Tirage hors commerce à 350 exemplaires, numérotés 
              de 1 à 350.
 Pas de grands papiers.
 
 
 
 
 La maison des disparus, 
              2001.
 Edition originale.
 
 
 
 
            Réédition(s) 
              / Edition(s) collective(s) en françaisAucune.
 
 
 
 
            IntrigueA Saint-Cloud (Hauts-de-Seine, France), le docteur Bourdet dirige 
              un asile d'aliénés. De graves soucis financiers le 
              poussent à se rendre complice de l'un de ses pensionnaires, 
              qui a la possibilité d'entrer et de sortir de l'établissement 
              comme il l'entend. Bourdet est d'autant plus honteux de sa faiblesse 
              que sa fille Nine est au courant de ce petit manège.
 
 Un soir, le pensionnaire privilégié se rend au Majestic, 
              à Paris, où le comte de Bray-Machard donne une fête 
              pendant laquelle il réussit à isoler le comte dans 
              une chambre, à le chloroformer et à lui dérober 
              son carnet de chèques. Il promet à Torrence de l'appuyer 
              dans ses recherches.
 
 De Bray-Machard porte plainte et la police qui  par la voix 
              du commissaire Torrence  déclare connaître cette 
              manière de procéder. En effet, des forfaits analogues 
              ont déjà été commis par celui que les 
              inspecteurs de la Sûreté surnomment l'Homme en Habit.
 
 A la suite de ce vol, Bourdet panique et reproche ses méfaits 
              à son pensionnaire. Il va même jusqu'à lui demander 
              de cesser ses activités. L'Homme en Habit refuse et, 
              peu après cette altercation, le docteur disparaît mystérieusement. 
              A la direction de l'asile, il est remplacé par le docteur 
              Morisson, dont le comportement et l'incompétence amènent 
              Nine à le soupçonner d'être de mèche 
              avec l'Homme en Habit.
 
 Pour s'en assurer, la jeune femme accepte d'accompagner le pressant 
              Morisson au théâtre. Préalablement, elle s'assure 
              du soutien de Fred, un infirmier en qui elle a pleine confiance. 
              Au théâtre se trouvent également Torrence et 
              de Bray-Machard, qui ont repéré le véhicule 
              ayant servi à l'opération du Majestic.
 
 A la fin de la représentation, Morisson parvient à 
              échapper à la police, mais est blessé par Nine 
              dans sa fuite. Celle-ci retourne ensuite à Saint-Cloud où, 
              avec l'aide de Fred, elle tente vainement de faire parler l'Homme 
              en Habit. Comme il persiste à se taire, Nine appelle 
              la police et raconte toute l'affaire à Torrence. Le commissaire 
              reconnaît en l'Homme en Habit un repris de justice 
              nommé Bonjean.
 
 La situation va dès lors pouvoir s'éclaircir. Bourdet 
              est retrouvé chez la Mère Marie, une tante de Bonjean 
              qui est aussi receleuse à Saint-Ouen, où était 
              séquestré le docteur. Une fois celui-ci libéré, 
              Nine épouse de Bray-Machard.
 
 Bonjean, alias l'Homme en Habit, est condamné au bagne. 
              Il est envoyé en Guyanne, sur l'Ile du Diable, réservée 
              aux irréductibles. Sa complice, la Mère Marie, purgera 
              une peine de prison puis retouvera son bric-à-brac de Saint-Ouen, 
              où la police surveillera de près ses activités.
 
 Fred retrouve son poste d'infirmier et de gardien de nuit à 
              l'asile. Quant au docteur Morisson, on a jamais retrouvé 
              sa trace.
 
 
 
 
            
           
           
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