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            PseudonymeGeorges-Martin Georges.
 Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
 
 
 
 
            RédactionParis (France), [date non connue].
 
 
 
 
            Manuscrit[ ? ].
 
 
 
 
            Publication 
              d'une préoriginaleAucune.
 
 
 
 
            Edition 
              originaleAchevé d'imprimer : 20 mars 1928.
 Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture 
              illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 25 centimes.
 Collection « Le Petit Roman », n° 10.
 Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
 
 
 
 
                
                  |  |  | Un soir de 
                    vertige, 1928. Edition originale.
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            Réédition(s) 
              / Edition(s) collective(s) en français
 [En préparation].
 
 
 
 
            Remarque(s)Le thème du pari à la suite duquel un riche désuvré 
              trouve l'amour, qui forme la base de l'intrigue dans Un soir 
              de vertige..., se trouvait déjà dans Etoile 
              de cinéma (sous le pseudonyme de Georges 
              d'Isly ; Paris, F. Rouff, 1925) et sera reprise dans La 
              merveilleuse aventure (sous le pseudonyme de Jacques 
              Dersonne ; Paris, J Ferenczi et Fils, 1929).
 
 Par ailleurs, l'intrigue d'Un soir de vertige... présente 
              certaines ressemblances avec Que 
              ma mère l'ignore ! (publié sous le pseudonyme 
              de Jean 
              du Perry ; Paris, J. Ferenczi et Fils, 1926) et sera en 
              partie reprise dans Nuit 
              de Paris (publié sous le pseudonyme de Georges 
              Martin-Georges ; Paris, J. Ferenczi et Fils, 1929).
 
 
 
 
            IntrigueUn soir d'ennui  un soir de Sainte-Catherine  Martine, 
              modeste cousette parisienne, rencontre le prince charmant en la 
              personne de Christian Dorsage. Après une folle soirée, 
              le jeune industriel conduit Martine dans sa garçonnière. 
              Elle est complètement ivre et ne sait pas qu'elle a été 
              l'enjeu d'un pari entre Dorsage et son ami Morlet.
 
 Au petit matin, Martine se réveille seule et ne comprend 
              pas bien ce qui lui est arrivé. Lorsque Molet vient lui apporter 
              un chèque de la part de Dorsage, elle se croît déshonorée 
              et gifle l'émissaire de Christian. Déçue dans 
              son idéal amoureux, Martine quitte la garçonnière 
              de Dorsage et s'enfuit.
 
 Plus tard, tout à son désespoir, elle tente de se 
              suicider, mais Dorsage et Morlet interviennent à temps pour 
              la sauver. Christian lui explique le pari qu'il a conclu avec son 
              ami, lui assure qu'il n'a pas profité d'elle et lui déclare 
              son amour.
 
 Christian et Martine s'épouseront.
 
 
 
 
            
           
           
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