Celle qui revient
Roman sentimental

  • Pseudonyme
    Jean Dorsage.
    Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.


  • Rédaction
    Paris (France), [date non connue].


  • Manuscrit
    [ ? ].
    Titre proposé et non retenu : La disparue.


  • Publication d'une préoriginale
    Aucune.


  • Edition originale
    Achevé d'imprimer : 13 avril 1929.
    Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 95 pages ; couverture illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 60 centimes.
    Collection « Le Petit Livre », n° 857.
    Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.


  • Réédition(s) / Edition(s) collective(s) en français
    Liste non exhaustive

    Réédition :
    Achevé d'imprimer : 1939.
    Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 95 pages ; couverture illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 95 centimes.
    Collection « Le Petit Livre », n° 1'385.


      Celle qui revient, 1939.
    Réédition.


  • Intrigue
    La jeune Monique Martinault est lasse de l'ambiance rurale et mesquine qui règne dans la petite ville provinciale de Saint-Amand-Montrond (Cher, France). Un beau jour, elle fait ses valises et va vivre à Paris en compagnie de Jean Marchal, un beau garçon dont elle est la maîtresse.

    En abandonnant Saint-Amand pour la capitale, Monique fait le désespoir de son père. Elle ne l'a pas mis au courant de son départ, ce qui ravive en lui un douloureux souvenir. C'est dans les mêmes conditions que son épouse l'a quitté, il y a quinze ans.

    A Paris, Monique déchante rapidement. Alors qu'elle rêvait d'y mener une vie brillante, elle doit se contenter d'un triste meublé de Montmartre. Pour subvenir aux besoins du couple, Jean joue du violon dans une boîte de Pigalle, le Pickwick's Bar. Son désarroi atteint son comble lorsque Jean la trompe. C'est alors avec nostalgie qu'elle pense à la quiétude de l'existence qu'elle menait avec son père. Elle n'ose toutefois pas retourner à Saint-Amand et, après voir rompu avec Jean, déambule sans but précis dans les rues de Paris.

    Le hasard lui fait croiser la route d'un artiste peintre, Georges Lenfant, qui lui propose de devenir son modèle. Entre les deux naît progressivement une amitié qui se transforme en amour. Un jour, dans l'atelier de Georges, Monique fait la connaissance d'un autre modèle du peintre qui s'avère être... sa mère. Elle aussi regrette Saint-Amand et ce mari qu'elle a abandonné sur un coup de tête pour suivre un officier déserteur qui s'est rapidement désintéressé d'elle.

    Prenant l'affaire en main, Georges Lenfant se rend dans le Cher, d'où il ramène Ernest Martinault. Celui-ci pardonne volontiers à sa femme et à sa fille. Aussi les deux couples décident-ils de s'installer définitivement à Saint-Amand, où ils vivront désormais heureux.


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