Nez d'Argent
[Le paria des bois sauvages]
Roman d'aventures exotiques

  • Pseudonyme
    Georges Sim.
    Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.


  • Rédaction
    Paris (France), [date non connue].


  • Manuscrit
    [ ? ].


  • Publication d'une préoriginale
    Aucune.


  • Edition originale
    Achevé d'imprimer : 7 mars 1930.
    Paris, J. Ferenczi et Fils ; 18,5 x 12 cm, 200 pages ; couverture illustrée ; 1,75 Fr.
    Collection « Le Livre de l'aventure », n° 21
    Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.


      Nez d'argent, 1930.
    Edition orignale.


  • Réédition(s) / Edition(s) collective(s) en français
    Liste non exhaustive

    Première réédition :
    Sous le titre Le paria des bois sauvages (sous le même pseudonyme).
    Achevé d'imprimer : 1933.
    Paris, J. Ferenczi et Fils ; 16 x 11 cm, 96 pages ; couverture illustrée (Armengol) ; [prix ?].
    Collection « Voyages et aventures », n° 31.
    Il s'agit d'une réédition abrégée de Nez d'argent.

    Deuxième réédition :
    Sous le titre Nez d'argent.
    Paris, Presses de la Cité, 1980.
    Collection Les introuvables de Georges Simenon, n° 9.


      Nez d'argent, 1980.
    Réédition.


  • Intrigue
    Jack Burns, un jeune Américain, débarque à Guayaquil (Equateur) pour faire fortune. Un riche planteur de la région, Pedro Chiquito, auprès duquel il est recommandé, le conduit sur la route de la terre vierge. Ce faisant, Pedro fait volontairement passer Burns sous un pont qui s'écroule et le précipite dans le vide.

    Cinq ans plus tard, les fils de Pedro et leurs serviteurs traquent à travers la forêt amazonienne un bandit surnommé Nez d'Argent, qui vole mais ne tue jamais, et dont la formidable connaissance d'un terrain pourtant très hostile rend parfaitement insaisissable.

    Nez d'Argent nargue ses poursuivants, dont la progression est pénible. Bien qu'il se meuve avec la plus grande aisance, le bandit se fait blesser et va se faire soigner auprès d'une jeune métisse, Tilli Bernier, dont le père, un Français exilé, vient de mourir. A son hôtesse, Nez d'Argent déclare que son véritable nom est Jack Burns. Pendant sa convalescence, Tilli se fait enlever par les Indiens Antipas et, bien que partiellement remis de ses blessures, Nez d'Argent part à sa recherche. Grâce aux Indiens Huambisas, il ne tarde pas à retrouver la jeune fille et à la libérer.

    Entre-temps, les Huambisas ont fait prisonnier le groupe conduit par le fils de Pedro. Pour leur venir en aide, celui-ci arme une centaine d'hommes et s'apprête à massacrer les Indiens. Pour éviter que le sang coule, Nez d'Argent se livre à Pedro et raconte son histoire.

    Il est bien Jack Burns, l'homme qui a survécu au piège tendu Pedro cinq ans plus tôt. Après avoir été soigné, Burns a décidé de se venger en volant Chiquito et ses semblables. Il faut dire qu'il y a une raison supplémentaire à son désir de vengeance. Jadis, Pedro a tué un homme qui avait prédit, avant de mourir, qu'un jour son fils le vengerait. Ce fils, bien évidemment, c'est Jack Burns. Ayant appris son arrivée à Guayaquil, Pedro a décidé de s'en débarrasser au plus vite, raison pour laquelle il a tenté de l'assassiner.

    Pedro reconnaît avoir tué le père de Jack, mais assure qu'il était en état de légitime défense. Ce que Burns veut bien accepter de croire. Chiquito et ses hommes rentrent à Guayaquil, les Huambisas sont épargnés et Jack décide de rester auprès de Tilli, qui lui est désormais aussi chère que sa forêt amazonienne.

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