La puissance du souvenir
Roman sentimental

  • Pseudonyme
    Georges-Martin-Georges.
    Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.


  • Rédaction
    Paris (France), [date non connue].


  • Manuscrit
    [ ? ].

  • Publication d'une préoriginale
    Aucune.


  • Edition originale
    Achevé d'imprimer : 24 octobre 1930.
    Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 25 centimes.
    Collection « Le Petit Roman », n° 145.
    Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.


      La puissance du souvenir, 1930.
    Edition originale.


  • Réédition(s) / Edition(s) collective(s) en français
    Liste non exhaustive

    Réédition :
    Achevé d'imprimer : 6 juillet 1939.
    Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture illustrée [ ? ] ; 45 centimes.
    Collection « Le Petit Roman », n° 769.


      La puissance du souvenir, 1939.
    Réédition..


  • Intrigue
    Gérard Martineau est un homme d'affaires important. Il habite une luxueuse villa à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine, France), avec Anne, son épouse, et quelques domestiques. Durant la nuit qui suit le départ de son mari, Anne est réveillée par un bruit suspect et surprend un cambrioleur. L'homme ne lui est pas inconnu : il s'agit de Jacques Fernet, qu'elle a connu lorsqu'elle vivait à Nevers et qui était épris d'elle sans jamais le lui avoir avoué. La vie les a séparés jusqu'à ces retrouvailles particulières.

    Jacques explique à la jeune femme sa longue chute : la malchance, son engagement dans les troupes coloniales, la boisson, sa déchéance. Anne cherche un moyen de l'aider, mais le retour inopiné de Gérard — qui a oublié un dossier — l'empêche de concrétiser ses intentions.

    Bien entendu, Gérard est convaincu que Jacques est l'amant d'Anne. Il le met aussitôt à la porte et refuse catégoriquement à son épouse la possibilité de se justifier. Avant de reprendre la route pour la Côte d'Azur, il ordonne à ses domestiques de surveiller Anne, à qui il interdit désormais de sortir de la maison.

    Surprise par la sévérité de Gérard et sa prétendue jalousie, Anne comprend qu'il ne l'aime pas et qu'elle ne représente, à ses yeux, qu'un bel objet décoratif. La scène qu'elle vient de vivre lui ouvre les yeux. Elle décide alors de quitter définitivement Gérard et la belle villa de Saint-Cloud.

    Anne rejoint Jacques, dont l'amour pour elle a résisté à tant d'épreuves. Ensemble, ils fondent une maison de commission et d'exportation, dont Jacques est le directeur, et se marient dès que le divorce est prononcé.


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