La Jument-Perdue
Roman

  • Rédaction
    325 W. Franklin Street, Tucson (Arizona, U.S.A.), du 7 au 16 octobre 1947.


  • Manuscrit
    [ ? ].
    Le manuscrit a été détruit par l'auteur.


  • Publication d'une préoriginale
    En feuilleton dans l'hebdomadaire « Les Nouvelles littéraires », n° 1'064-1'078 du 22 janvier au 29 avril 1948 (soit 15 livraisons) ; illustrations de Bernard Milleret.




      La Jument-Perdue, 1948.
    Publication en préoriginale.






  • Edition originale
    Achevé d'imprimer : pas d'achevé d'imprimer [1948].
    Paris, Presses de la Cité ; 18,5 x 12,5 cm, 218 pages ; couverture blanche papier fort, jaquette illustrée en couleurs.
    Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.


      La Jument-Perdue, 1948.
    Edition originale.


  • Réédition(s) en français
    Liste non exhaustive

    Edition numérotée et illustrée :
    Achevé d'imprimer : pas d'achevé d'imprimer.
    Paris : Club du Livre Sélectionné ; 20 x 13,5 cm, 404 pages ; illustrations de Monique Gorde ; reliure d'édition noir avec motif doré en incrustation.
    4'026 exemplaires, dont 4'000 numérotés de a à 4'000 et 26 exemplaires hors commerce réservés aux amis du Club, marqué de A à Z.
    Contient : Les frères Rico, La Jument-Perdue et Le fond de la bouteille.


     

    La Jument-Perdue, [s. d.].
    Réédition.



    Autre(s) réédition(s) :


      La Jument-Perdue, 1954.
    Réédition (Presses de la Cité).
    (Coll. P. Mercier).


      La Jument-Perdue, 1966.
    Réédition (Presses Pocket).


  • Edition(s) collective(s) en français
    Liste non exhaustive

    In Œuvres complètes (Lausanne, Editions Rencontre, 1967-1973) - tome 24.
    In Tout Simenon (Paris, Presses de la Cité, 1988-1993) - tome 2.
    In Tout Simenon (Paris, Omnibus, 2002-2004) - tome 2.


  • Traduction(s)
    Liste non exhaustive

    En allemand :
    [ ? ] : [ ? ].

    En anglais :
    [ ? ] : The Lost Mare [ ? ] (première édition américaine).
    [ ? ] : [ ? ] (première édition anglaise).

    En italien :
    [ ? ] : [ ? ].


  • Intrigue
    A Tucson (Arizona, U.S.A.), John Spencer, dit Curly John, est âgé de soixante-huit ans. Ancien mineur devenu rancher de la Jument-Perdue, il est certain que — trente-huit ans plus tôt, un jour d'octobre 1909 — son associé, Andy Spencer, a tenté de le tuer. Il est sûr aussi que, son projet d'assassinat ayant échoué, Spencer a épousé la fille cadette du riche Mike O'Hara dans le seul but de reprendre la part du ranch qu'ils exploitaient en commun et sur laquelle il savait qu'on allait découvrir du minerai.

    Aujourd'hui, Andy Spencer (soixante-huit ans) est considéré comme la plus grande fortune de Tucson.

    A l'occasion d'une vente aux enchères, Curly John prend connaissance d'une lettre à demi effacée qu'on a trouvée dans une malle ayant appartenu à Ronald Phelps, un géologue anglais qui a travaillé autrefois pour une société minière de la région. Cette découverte bouleverse les certitudes de Curly John quant aux soupçons qu'il porte sur Andy Spencer. En effet, cette lettre a été envoyée à un destinataire inconnu, deux jours avant la tentative de meurtre, par Little Harry, le propriétaire d'une maison de jeux à Sunburn. Dans la lettre, le nom du coupable est désigné par une initiale qui semble être un H, mais qui pourrait être aussi un A, un N, un B ou un R.

    Andy Spencer est-il donc bien ce coupable que Curly John s'est acharné à accuser ?

    A force de persévérance et de réflexion, Curly John finit par établir la vérité. Aloso Riales, alors régisseur du ranch en 1909, devine que le domaine renferme un filon. Pour s'en assurer, il fait appel à Ronald Phelps, qui ne tarde pas à convenir de la présence de minerai sur les terres de la Jument-Perdue, mais qui cherche à mener l'affaire dans son propre et seul intérêt.

    Dans sa lettre, Little Harry met son mystérieux destinataire au courant des menées de Ronald Phelps et suggère de supprimer Curly John afin d'obliger Andy Spencer à vendre en raison des dettes de jeu qu'il a envers lui. C'est Aloso Riales qui est chargé de cette besogne, pour laquelle il engagera un homme de main.

    Andy Spencer est donc innocent et Curly John se réconcilie avec lui. Mais il est trop tard pour agir contre Aloso Riales, ce d'autant que le destinataire de la fameuse lettre demeure inconnu.


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