L'étreinte tragique
Roman sentimental

  • Pseudonyme
    G. Vialio.
    Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.


  • Rédaction
    Paris (France), [date non connue].


  • Manuscrit
    [ ? ].


  • Publication d'une préoriginale
    Aucune.


  • Edition originale
    Achevé d'imprimer : 10 décembre 1928.
    Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 25 centimes.
    Collection « Le Petit Roman », n° 47.
    Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.


      L'étreinte tragique, 1928.
    Edition originale.


  • Réédition(s) / Edition(s) collective(s) en français

    [En préparation].


  • Remarque(s)
    On trouve déjà l'argument qui sert de base à l'intrigue de L'étreinte tragique — une partie de chasse au cours de laquelle un mari tente d'abattre son rival — dans Le coup de feu, un conte publié sous la signature de Georges Sim (« Le Matin », du 23 octobre 1923) et dans L'heureuse fin, un roman publié sous le pseudonyme de Jean du Perry (Paris, J. Ferenczi et Fils, 1925). On le retrouvera encore dans Aimer, mourir, un roman publié sous le pseudonyme de Georges Martin-Georges (Paris, J. Ferenczi et Fils, 1929).


  • Intrigue
    Nine a épousé le comte d'Achères, un cousin âgé de son père (décédé depuis), dans le seul but de sauver sa famille de la faillite. Elle vit donc avec son mari de septante-cinq ans dans un morne et lugubre château sur les bords de la Loire (France). De temps en temps, Nine se rend à Paris où elle passe quelques jours. Lors de ces brèves escapades, elle rencontre, à l'insu de son mari, le journaliste Georges Vallier qu'elle aime en secret.

    Le journaliste devant se rendre en Amérique pour un reportage, il vient au château faire ses adieux à Nine. Le compte lui réserve un bon accueil et l'invite à passer la nuit chez lui, pour qu'il puisse — le lendemain — participer à une partie de chasse qu'il a organisée sur son domaine. Durant la nuit, Nine se donne à Georges. Les amants ne se doutent toutefois pas qu'ils s'étreignent sous l'œil du vieillard, dissimulé derrière une paroi dont les interstices lui permettent d'observer la scène sans être vu lui-même.

    Pendant la chasse, Nine a un pressentiment et craint pour la vie de Georges. Elle se précipite dans les bois et c'est elle qui reçoit la balle que le comte destinait à son rival. La jeune femme roule à terre... tandis que son mari s'effondre, victime d'une crise cardiaque mortelle.

    Nine n'est que légèrement blessée. Elle guérira vite et, dès que la période de deuil sera écoulée, elle épousera Georges.


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