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MAUPASSANT
TROIS NOUVELLES
ILLUSTRÉES PAR BRANCHE




  LE HORLA
 
Première parution dans « Gil Blas », du 26 octobre 1886
Version définitive rédigée en 1887

 
Un homme tient le journal de sa folie. Maux de tête, malaises inexplicables, sensation d’un danger imminent, irritation, cauchemars, frissons d’angoisse, visions macabres, hallucinations sont autant de symptômes alarmants qui l’amènent à croire qu’un esprit surnaturel régit sa vie. Cet être mystérieux qui le guide et le commande, c’est « le Horla ». Pour lui échapper, pour ne plus être son esclave ni son jouet, il incendie vainement sa maison.


 

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  FOU ?
 
Première parution dans « Gil Blas », du 23 août 1882, sous la signature de Maufrigneuse
Edition définitive du texte en 1893

 
L’auteur d’un journal intime, aujourd’hui interné, est un homme qui a aimé passionnément. D’un amour si extrême qu’il s’est cru envoûté par la femme à laquelle il s’est donné corps et âme. Lorsqu’elle s’est désintéressée de lui – sans toutefois le quitter – il est devenu la proie d’une douleur abominable : la jalousie. Il n’y avait que la mort pour se libérer d’une emprise aussi féroce. Le suicide était une alternative, l’assassinat une autre. La jalousie justifiait-elle ce choix ?


 

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  LA CHEVELURE
 
Première parution dans « Gil Blas », du 13 mai 1884, sous la signature de Maufrigneuse

 
Le narrateur achète un meuble antique et découvre, dissimulée dans le double fond d’un tiroir, une mèche de cheveux blonds. Cette trouvaille, en apparence anodine, se transforme en obsession amoureuse et érotique. Il ne peut plus se séparer de cet objet et vit désormais une passion morbide avec la défunte inconnue qui a jadis porté cette chevelure qu’il câline et exhibe avant d’être interné dans un asile psychiatrique.


 

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